Il était une fois... Ah non, ce sont les contes de fées qui commencent ainsi, et mon histoire n'est pas totalement dans le registre " contes de fées " , ça serais même plutôt le contraire, une histoire triste, sans cheval blanc, ni prince charmant pour me sauver... Quoi que !?

C'était un trente et un décembre, la joie était au rendez-vous, des odeurs de repas chaud embaumé les rues, tout le monde était heureux pour fêter la nouvelle année, tant tôt un couple avec une bouteille de champagne qui frappe a une porte qui dévoile un hôte dans une tenue de soirée, an face un groupe de jeune qui joue... mais pour les deux jeunes personnes qu'étaient Alice et Mike Sulivann, la date n'importait guère. En effet comme vous l'aurez compris, je suis née la nuit du premier janvier mille neuf cent quatre-vingt douze. J'étais pour mes jeunes parents, le plus beau des cadeaux que la nouvelle année pouvait leur offrir.
C'est ainsi que je grandis, jusqu'à mes trois ans. Ma mère et mon père n'avaient que dix sept ans, mais ils étaient déjà beaucoup plus mature que la plus part des adolescent de leur âge. Leurs familles respectives leur avaient tourné le dos quand ils ont sue que ma mère était enceinte. Jugeant, du côté de mon père, qu'il c'était mis dans une merde monumentale et qu'il n'arriverais jamais a assumer, et pour ce qui était de la famille de ma mère, ils avaient juste dit qu'elle c'était mise en cloque alors maintenant, elle assume. Du coup ils s'étaient dégoter un petit studio pas trop chère et c'est ainsi que mes trois première années ce déroulèrent, des parents qui m'aimaient de tout leur coeur, et qui me donner tout ce qui pouvaient m'offrir, c'était peut-être peu, mais je n'est jamais eu l'audace de dire que ce n'était pas assez, car tout cela me suffisait amplement. Pourquoi jusqu'à mes trois ans ? Et bien, c'était le jour de mes quatre ans plus précisément que tout tourna au vinaigre. Un coup de fil, un malheureux coup de fil fichue la vie de mon père en l'aire. Je ne sais pas encore ce qui a était dit ce jour là, dans cet conversation téléphonique, mais tout ce que je sais c'est que mon père c'était mis a boire, a insulter ma mère, et a être violant. Bien sure, ma mère faisait son possible pour le calmer, et moi quand je me faisait gifler, je penser que c'était normal, et je croyais que c'était parce que je ne faisait pas les choses assez bien, donc j'essayais de m'améliorer toujours et encore. Malgré ça, je rester la petite fille calme et souriante qui faisait craquer toute les mamans, et j'étais fière de moi. J'aimais beaucoup quand les gens me complimenter, j'avais l'impression que mes efforts n'étaient pas vains. En plus, j'étais toujours un peu plus mature que les autres de mon âge, mais j'avais aussi plein d'amis. Personnes ne savait ce qui ce passer chez moi, avec mon père. Souvent, quand j'avais des traces comme des bleus sur les bras, je m'étais ça sur le compte de ma maladresse.
Finalement, alors que j'avais treize ans et demi, mon père ce métamorphosa une seconde fois, il était redevenu l'homme doux et généreux qu'était alors mon père. Je compris alors pourquoi quand ma mère m'annonça qu'elle était enceinte d'une petite fille, j'était très heureuse. C'est ainsi que sept mois plus tard arriver une petite fille aux allures angélique, Sunday Hope Sulivann. Je me souviens encore, le jour de sa naissance, j'avais chuchoter a son oreille que je m'occuperais d'elle comme si j'avais été sa maman. Sauf que la vie me prit au mots. Je m'explique, c'était deux mois après la naissance de ma petite soeur, elle était rester tout ce temps à l'hôpital étant donné qu'elle était prématurée. Cette journée là, elle revenais a la maison, c'est mon père qui conduisait. Alors qu'on aller arriver a la maison, une voiture nous rentra dedans a toute vitesse, le premier reflexe que j'avais eu c'était de prendre ma petite soeur dans mes bras, et de tout faire pour la protéger des éclats de vers, et je m'aperçut une fois sortie de la voiture accidenter, que ce geste futile lui avais sauver la vie, car le siège sur lequel était poser son cosy était complètement écraser, ainsi que... le siège passager, celui ou ma mère était assis. Vous l'aurez compris, cet accident lui a coûter la vie. Alors, une seconde fois, mon père redevint violant, mais beaucoup plus cette fois si, il commit même l'irréparable pour moi...
C'était un soir d'été, il faisait très chaud et l'orage menaçait, je venais de finir mes corvées, mais je n'avais pas était assez vie selon mon père, j'eus le droit alors au " châtiment " , c'était horrible, de la pure torture, il m'arrachait mon tee short, et je devais m'allongeais sur une table en bois, et là j'avais le droit a deux coups de fouet , qui me laisser chaque fois le dos en sang. Mais là encore, se soir ça n'étais pas assez bien pour lui, je ne sais pas pourquoi, il c'était mis dans une colère noir. Je m'étais réfugier dans la chambre ou je dormais avec Sunday, et je l'avais pris contre moi, la serrant fort contre ma poitrine. L'orage grondais a présent, et j'entendais les pas sourd de mon père montant dans les escaliers, j'avais fermer les yeux, je pleurais, j'étais terrifier et je ne savais pas ce qu'il allais me faire. Alors, il tourna la poignée et entra dans la chambre, a se moment là je déposer sunday dans son lit, et il m'attrapa sauvagement par le bras. Je ne pouvais guère lui résister, je n'avais aucune force et j'étais affamer car je ne manger pas vraiment a ma faim. Alors il m'emmena dans sa chambre, c'est là que je compris. Mes yeux prirent une expression horrifier, et il commença a m'arracher mes vêtements. Je ne savais pas quoi faire, je hurlais, mon dos me faisait souffrir le martyr, et je hurlais aussi d'horreur.
Il recommença souvent, a la fin, ça devenais presque quotidien, je ne hurlais plus, a quoi bon ? Mais un jour, alors que le soleil ce levais, Sunday pleurais dans son petit lit car elle avait faim, je me levais alors pour la consoler, mais quand je posais le pied par terre, la pièce tangua, et les bruit formèrent une éspèce de bouillit uniforme, puis je tombais par terre.

Je ne sais par qu'elle miracle, j'étais loin de là où j'habitais, j'étais dans un hôpital. Je me réveiller, j'étais perdue et aveugler par la blancheur des mures. Alors que je me réveillais une infirmière vint me voir, me posant tout un tas de questions. Elle me demanda d'abord d'où venais les énormes cicatrices dans mon dos, ensuite elle me demande la même chose pour les marque sur mes chevilles et mes poignées et elle me demanda enfin pourquoi j'étais aussi maigre. Je ne lui répondit pas vraiment, enfin j'avais pas mentionné que c'était mon père, j'avais rien dit sur mon passé. Je lui avait juste dit que j'étais perdue, et que j'avais seize ans ainsi que mon nom et mon prénom. Deux mois, deux mois avant que je n'est le droit de partir de l'hôpital ! J'avais repris un poids normal, et mon dos avais cicatriser, je n'avais plus qu'une grosse cicatrice dans le bas du dos, et les marques sur mes poignées et mes chevilles avaient complètement disparues. J'essayais de retrouver mon chemin pour rentré chez mon père alors qu'une affiche m'attira, je pris alors un prospectuce , c'était pour une université loin d'ici, alors un énorme sourire fendit mon visage. Quand je rentrée chez moi mon père et ma soeur étaient absent, j'en profiter pour faire mes valises, et voler le maximum d'argent a mon père. Ce qui me fit le plus mal c'est que j'étais sure que je n'allais pas revoir ma soeur de si tôt, et partir loin sans elle me faisait peur, j'avais peur qu'il ne lui face du mal, et c'est a ce moment là que je me jurais de reprendre la garde de ma soeur dès que j'en aurais l'occasion.
Quand j'arrivais à Meighter, je me disais que commencer pour moi une nouvelle vie, la plus belle que je n'est jamais connue ! Alors que je venais d'arriver, je tomber littéralement sous le charme d'un garçon, il s'appelais Matt. Malgré les avertissements de mes amis, qui me disaient de ne pas m'attacher a lui car c'était le genre de mec qui prenait les filles pour des objets, je tentais ma chance. Je lui demandais de sortir avec moi, et il accepta. Mais, j'aurais due alors écouter les conseils de mes amis, Matt me trompa plusieurs fois, et quand je suis allé lui en parler on se disputa très fort, j'avais eu l'impression de le perdre pour toujours. Ce même jour il y eu la bombe. J'étais a ce moment là dans la bibliothèque, j'étais triste par l'engueulade qui venait de ce passé, quand une explosion éclata. Toute les vitre de la bibliothèque furent soufflées et je m'en pris un énorme morceau dans le ventre, marlgré ça j'étais toujours consciente et j'essayais d'enlever les éclats de vers et des fragments de bombes qui c'était loger dans ma jambe. Mais je perdais beaucoup de sang, alors je tombais dans le coma, avant que quelqu'un est pue me voir.

Je me réveillais encore une fois dans un hôpital. Mais cette fois)ci je n'étais pas seule, Matt était là, et il me fit même pas un couple de seconde pour me rappeler ce qui c'était passé le matin avant l'explosion. Quand il vit que je me réveillais, il me dit qu'il m'aimais, et par la suite j'eus l'impression qu'il avait vraiment changer. Maintenant ça fait deux ans que l'explosion est passé, et ça fait deux ans que je suis avec Matt, je l'aime plus que tout au monde. J'ai lancer un procès a mon père pour récupérer Sunday et je vie a peu près normalement maintenant.

Mon caractère ? Et bien... On peut dire que je suis quelqu'un d'extrémement pétillante, si je vous assure ! J'aime rire, J'aime jouer comme une enfant , j'aime me conduire comme une enfant, j'aime tout simplement la vie, et je vous assure qu'avec moi vous ne resterais pas sérieux très longtemps ! Si non, je suis généreuse et oui, j'ai peut être des défauts mais celui là je ne l'est pas ! Tout ce que je peux partager je le partage avec mes amis. Je suis aussi gourmande, et oui on ne peut pas avoir que des qualités ! Bon, c'est vrai que je suis maladroite aussi, mais c'est pas de ma faute ! Si non, je suis assez sensible, et j'ai un coeur énorme, mais facile a briser. je suis aussi un peu folle, mais ça c'est pas grave